Saturday, August 13, 2011

Financial Webgram! Thanks to the great French newspaper LES ECHOS http://www.lesechos.fr,
an article that says the truth about what is happening in the States: THE IMPEACHMENT OF THE INSANE OBAMA and the nomination of a DEBT SOLUTION COMMISSION inspired by our Propositions! The American Press refuses to communicate about this so crucial process for our so in danger Country as their financing is under the pressure of the White House, an Administration about to leave after the AA Chaos that makes our United States a part of the Third World! The Future will prevails with our PRESIDENTIAL POWER, a Movement for everybody including THE POOR!
Les Echos: "Obama face au feu des critiques sur la perte du AAA de la dette américaine.
Tandis que la cote de popularité de Barack Obama est tombée à 45 %, la mise en place de la supercommission bipartite ne préjuge guère d'un accord sur la réduction du déficit.
Ecrit par Pierre de GASQUET
Correspondant à New York
Un George Washington avec un oeil au beurre noir orne la couverture du magazine « Time ». Mais une semaine après le déclassement de la note américaine par Standard & Poor's, c'est aussi le 44 e président des Etats-Unis qui souffre dans les sondages. Selon le dernier baromètre publié mercredi par Reuters-Ipsos, la cote de Barack Obama est tombée à son plus bas historique de 45 % (contre 49 % en juillet), tandis que 73 % des Américains estiment désormais que les Etats-Unis sont sur la « mauvaise voie » (contre seulement 21 % sur la « bonne voie »). Face à cette nouvelle vague d'anxiété économique, le président américain, de passage dans le Michigan, a tenté de minimiser l'impact dela décision de Standard & Poor's en arguant de la nécessité d'une approche « équilibrée » face au déficit. Mais le choix des membres de la supercommission sur la dette, qui devra rendre son verdict avant le 23 novembre, relance les inquiétudes sur un blocage institutionnel.
« Nous n'avions pas besoin d'une agence de notation pour nous dire qu'il nous faut une approche équilibrée et à long terme sur la réduction du déficit [...] C'était déjà vrai le jour où j'ai pris mes fonctions », a déclaré Barack Obama. Mais plusieurs membres de sa propre majorité lui reprochent désormais d'avoir été trop conciliant avec le camp républicain et trop lent à réagir. Pis : la décision de Standard & Poor's risque désormais d'augmenter la pression sur la supercommission bipartite sur la réduction de la dette, chargée d'identifier 1.500 milliards de dollars d'économies budgétaires sur dix ans. Faute d'accord entre les 6 démocrates et les 6 républicains qui en feront partie, des coupes automatiques de 1.200 milliards de dollars dans les budgets de la défense et de la santé seront enclenchées à partir de 2013.
Un coup dur
Selon la plupart des analystes, le choix des nominations des membres républicains de la supercommission annoncé en milieu de semaine par le président de la Chambre, John Boehner, et le leader du Sénat, Mitch McConnell, ne va pas forcément faciliter le processus. Bien que deux des républicains choisis (Fred Upton et Rob Portman) aient la réputation de travailler avec les démocrates, trois autres, Jon Kyl (Arizona), Pat Tommey et Jeb Hensarling figurent parmi les membres les plus conservateurs du Congrès. Tous sont opposés au principe des hausses d'impôts que le président Obama a pourtant jugé nécessaires pour contrebalancer des coupes qu'il souhaite modestes dans les programmes sociaux. De leur côté, les leaders démocrates ont complété hier soir la liste des représentants de leur parti à la commission.
« Augmenter les impôts est tout simplement une mauvaise approche », a encore répété le président de la Chambre, John Boehner, en estimant que cela risque de compromettre la relance et de saper les investissements en période de chômage élevé. De son côté, le codirigeant du gérant obligataire Pimco (Pacific Investment management Co), Mohamed El-Erian, traditionnellement modéré, n'a pas caché que la perte du triple A américain est un coup dur pour la confiance aux Etats-Unis, tout en déplorant le « clash public » entre l'administration Obama et l'agence de notation.
Au lendemain de la rencontre entre Barack Obama et le président de la Fed, Ben Bernanke, à la Maison-Blanche, certains analystes s'interrogent encore sur l'opportunité d'un nouveau round de « relance quantitative » (QE3) pour agir positivement sur le front de la confiance.
PIERRE DE GASQUET, Les Echos"

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